dimanche 11 juillet 2010

The great escape.






C.L




" Cet amour qui n'a cessé de croître depuis votre première rencontre, il t'érode, te dénude, te ramène constamment à ce qu'il y a en toi de plus pauvre, de plus démuni. Souvent, la nuit, quand il te tient éveillée, sa violence t'effraie, et tu t'étonnes qu'ait pu prendre racine en toi un sentiment si extrême, si démesuré."
C.Juliet.

lundi 5 juillet 2010

In odio.





(...) les yeux ouverts dans le noir, livrée à une souffrance que tu ne parviens pas à surmonter.

" Faisant dévier mes chemins
il m'a déchiré
et il a fait de moi une horreur...








(...) et alors que ces mots ancrent en toi ce qu'ils disent, ce n'est pas à lui que tu songes,
mais à ce mauvais destin qui sans que tu t'en sois rendu compte, t'a poussée sur ce chemin dont tu pressens qu'il ne peut conduire qu'à la mort.
Déchirée, oui. À jamais fissurée. À jamais exclue de la vie. À jamais embourbée dans une souffrance qui a pourri jusqu'à la pulpe de ton âme. "

Lambeaux, Charles Juliet.